Nous rappelons cependant que ce qui y est énoncé sur l’organisation des concours peut être abusif : le préaccord collégial : est défini par l’enseignement catholique comme un système d’affectation qui bénéficie d’une garantie nationale tout en privilégiant une réponse régionale (un titre accrocheur vous garantit de "Vivre au pays"). C’est de moins en moins vrai car désormais, environ 15% des lauréats sont gérés nationalement via la Commission Nationale d’Affectation. Celle-ci aboutit à des affectations parfois très lointaines (un lauréat de Toulouse affecté à Lille). Par ailleurs, l’enseignement privé ne garantit pas le temps complet (le contrat commence au seul mi-temps). De plus, ce pré-accord collégial (sous forme d’un entretien avec plusieurs chefs d’établissement organisé dans le cadre des directions diocésaines) n’a aucune base légale. En effet, les textes légaux se contentent de préciser que "Les recteurs procèdent au recrutement des candidats inscrits sur la liste qui justifient de l’accord d’un chef d’établissement de l’enseignement privé sous contrat. Les candidats qui justifient d’un tel accord bénéficient d’un contrat provisoire pour une période probatoire d’un an, puis d’un contrat définitif après que leur aptitude au professorat a été constatée par la délivrance du certificat d’aptitude aux fonctions d’enseignement dans les établissements d’enseignement privés sous contrat."
discrimination à l’embauche : certaines des questions posées aux candidats et lauréats de concours lors de l’entretien pour le pré-accord ou l’accord collégial contreviennent au droit du travail. En effet, celui-ci précise « Aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement, de l’accès à un stage ou à une période de formation en entreprise ... en raison de ... ses convictions religieuses ... » (Code du Travail art L. 122-45, Code Pénal art 225-1).
Nous avons déjà eu à intervenir dans ce type d’affaire. N’HESITEZ PAS A NOUS CONTACTER
sundep national
discrimination à l’embauche : certaines des questions posées aux candidats et lauréats de concours lors de l’entretien pour le pré-accord ou l’accord collégial contreviennent au droit du travail. En effet, celui-ci précise « Aucune personne ne peut être écartée d’une procédure de recrutement, de l’accès à un stage ou à une période de formation en entreprise ... en raison de ... ses convictions religieuses ... » (Code du Travail art L. 122-45, Code Pénal art 225-1).
On se demande donc sur quelle base légale se fonde se préaccord ?
trouvé sur un forum ( fo) sur la légalité du préaccord "Le pré accord n’a aucune existence juridique et par conséquent ne peut en aucun cas être un moyen de refuser un candidat. Il existe d’ailleurs des candidats reçus au concours qui n’ont pas de pré accord.
Au delà de ce pseudo pré examen bidon, il faut savoir que certaines structures ou certains Accords Nationaux (ceux notamment qui régissent les CAE) ne sont pas recevables devant le Tribunal Administratif. D’ailleurs, le Rectorat ne manque jamais de rappeler qu’il ne reconnait pas l’existence juridique des CAE ! C’est malheureusement souvent la crédulité ou l’ignorance de certains collègues qui confèrent un pouvoir à la DEC ou leurs chefs d’établissement dans le privé qui n’existe ... que dans leur esprit."
contacter le sundep bretagne ou national nous vous donnerons la démarche à suivre .
Nous avons toujours gagné dans ce genre de démarche !
Je suis suppléante dans l’enseignement du pemier degré à Rennes depuis octobre 2000. J’ai pratiquement toujours eu des suppléances. il y a eu quelques interruptions de contrat (deux jours par ci par là) . l’inspection académique m’a tout de suite répondu que je ne remplissais pas les " grilles" et que je ne rentre pas dans le cadre de la ciruculaire du 29/02/2008. Serait-il possible de faire analyser ma situation ? Anne